20 septembre 2021
L’étude publiée lundi dans le journal «Clinical Epigenetics» est arrivée à la conclusion que l’alcool peut altérer les mécanismes biologiques, comme le développement embryonnaire.
«Nos résultats démontrent qu’une forte exposition prénatale à l’alcool sur une courte période altère les futurs profils de méthylation de l’ADN du cerveau du jeune embryon et augmente le nombre de défauts morphologiques, et ce, dès la première semaine de grossesse», a indiqué Serge McGraw, chercheur au CHU Sainte-Justine et professeur au département d'obstétrique-gynécologie de l’Université de Montréal.